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Table d'auto-étirement dorso-lombaire Sipho

un produit CARINA
Type de table
Couleur de sellerie
Couleur de piétement
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Table d'auto-étirement dorso-lombaire Sipho

La table d'auto-étirement dorso-lombaire Sipho est conçue pour soulager et prévenir le mal de dos, en pratiquant des postures d'étirement à raison de 2 séances quotidiennes de 1 à 5 minutes (matin et soir). La table Sipho est destinée aux spécialistes (kinésithérapeutes, ostéopathes, rhumatologues), mais également au grand public. Les personnes souffrant du dos peuvent l'utiliser seules à leur domicile (après avoir consulté leurs médecins).

Armature en aluminium.  Hauteur réglable. Pied pliable.

Revêtement de classe M1 - Nombreux coloris au choix pour la sellerie et pour le piétement (voir onglet "Nuancier").

Garantie : 2 ans.

IMPORTANT LIVRAISON

Cet article est fabriqué sur commande. Livraison uniquement sur la France Métropolitaine (Hors Corse).

Mentions obligatoires :
Publicité.
Dénomination : Table d'auto-étirement dorso-lombaire Sipho
Destination : Voir ci-dessus.
Fabricant : CARINA
Instructions : Lire attentivement la notice éventuelle.
Prudence : En cas de doute, consultez votre médecin ou un professionnel de santé.
Ce dispositif médical est un produit de santé réglementé qui porte, au titre de cette réglementation, le marquage CE.
Date de mise à jour de cette page : 2022-04-05 11:23:36

Caractéristiques de la table d'auto-étirement dorso-lombaire Sipho

Dimensions de la table pliée : 100 x 78 x 20 cm.
Hauteur réglable de 90 à 114 cm.
Dimension du coussin : 52 x 36 cm.
Poids 10 kg.

Charge maximale supportée : 100 kg.
Nettoyage : à l'eau savonneuse uniquement (solvants proscrits).

Vous souffrez du mal de dos ! Une affection bien banale vous a-t-on dit ! Sept Français sur dix souffriront au moins une fois dans leur vie d'une lombalgie. Au Etats-Unis, les lombalgiques représentent la première cause d'invalidité chez les moins de 45 ans. Certaines personnes vont en guérir, d'autres non ! Vous êtes parmi ces malchanceux ! ... C'est à vous que la table SIPHO est destinée.

Les causes du mal de dos

On les range en trois grandes catégories :
Les causes organiques - les causes mécaniques - les causes fonctionnelles.
Mais les choses ne sont pas si simple et l'on rajoute une quatrième catégorie : les causes mixtes ou intriquées (il s'agit des cas où l'on retrouve chez un même patient à la fois des causes mécaniques, fonctionnelles et même organiques).

Les causes organiques.
On ne s'y attardera pas, car elles représentent les causes rares, c'est-à-dire moins de 5% des maux de dos. Malgré tout, il est évidemment très important d'y penser, et c'est bien sur le rôle du médecin, car elles ont un traitement spécifique et sont souvent guérissables si elles sont prises à temps.
Pour mémoire, on range dans les causes organiques, les tumeurs (cancéreuses ou non), les rhumatismes inflammatoires (la spondylarthrite) et les causes infectieuses (encore plus rare) comme les spondylodiscites, c'est-à-dire l'infection du disque intervertébral.
On ne saurait trop vous conseiller d'aller au moins une fois consulter un médecin compétent et faire un minimum d'examens complémentaires (radiographies, éventuellement scanner ou IRM) afin de poser un diagnostic avant de pratiquer la pose sipho.

Les causes mécaniques.
On les définit comme les douleurs provoquées par une augmentation des pressions sur les zones sensibles de la colonne vertébrale, c'est-à-dire les disques intervertébraux, les muscles paravertébraux, et les racines nerveuses émergeant par les trous de conjugaison. Nous étudierons ces notions d'anatomie dans le chapitre suivant. Retenons pour l'instant ques les causes mécaniques les plus fréquentes sont : Les hernies discales, l'hyperlordose lombaire (ou augmentation de la cambrure), le canal lombaire étroit, l'arthrose postérieure et les contractures musculaires paravertébrales.
Les activités quotidiennes incriminées dans les douleurs mécaniques se retrouvent essentiellement dans le sport, les activités professionnelles et la vie scolaire.
Le sportif de haut niveau est particulièrement sujet aux lombalgies du faît d'un surentraînement et des multiples traumatismes auxquels est soumise la colonne vertébrale. Certains sports sont plus exposés aux lombalgies pour leur brutalité (football, rugby) ou pour leurs efforts en extension (basket, tennis).
Mais le sport loisir est parfois également responsable de lombalgies, notamment les scéances inappropriées de gymnastique encore en pratique dans les écoles ou dans les cours pour adultes (la "gymtonic" est à cet égard particulièrement nocive).
Les activités professionnelles jouent un rôle incontestable : les professions de santé, singulièrement les aides-soignantes (port de malades) et les dentistes (flexion du tronc en avant) sont exposées au mal de dos, ainsi que les manutentionnaires et les travailleurs de l'industrie et du bâtiment (soulèvement de charges, utilisation d'outils vibrants ...). Que dire encore du conducteur d'engins dont la colonne vertébrale subit les vibrations du moteur et du jardinier qui travaille à longueur de journée le tronc fléchi en avant, de la même manière que la femme de ménage.
La vie scolaire a également son importance et le rôle du mobilier scolaire, du port des cartables lourds ont été incriminés. L'école a une place particulière dans l'histoire des lombalgies, car elle est le lieu d'une éducation posturale qui marquera définitivement le jeune scolarisé. Il y apprendra hélas, une gymnastique trop souvent inappropriée pour la colonne vertébrale.

Les causes fonctionnelles.
Ce sont sans doute les causes les plus difficiles à diagnostiquer et leur diagnostic est d'ailleurs le plus souvent un diagnostic par défaut. Autrement dit, lorsque l'on n'a retrouvé ni cause organique, ni cause mécanique, la douleur est alors fonctionnelle.
On range dans les causes fonctionnelles toutes les causes d'origine psychique notamment l'hystérie, la sinistrose, l'hypochondrie et surtout les syndromes dépressifs. Toutes ces maladies agissent en augmentant le seuil à la douleur. Cela veut dire en simplifiant que ces patients ressentent des douleurs qu'ils ne devraient pas percevoir car leur dos est sain, mais ce sont les centres, les voies et les récepteurs de la douleur qui fonctionnent mal. Ces patients réagissent en général bien aux thérapies du type hypnose ou relaxation.

Les causes mixtes ou intriquées.
Ces causes où l'on retrouve pêle-mêle des origines mécaniques, fonctionnelles et même organiques illustrent parfaitement ce vieux proverbe chinois : "Le médecin commence à avoir mal à la tête quand son patient a mal au dos". Quand au fréquences, si les causes organiques sont les plus rares avec moins de 5% des cas, les causes mécaniques sont les plus fréquentes avec 60% des cas, les causes fonctionnelles représentent 10% des cas et les causes mixtes environ 25%.

Comprendre sa douleur

Anatomie du dos
Le dos est une structure mobile constitué par trois éléments anatomiquements essentiels :
- La colonne vertébrale qui sert d'armature. On la nomme en terme médical : le rachis.
- Les muscles paravertébraux : ils assurent le maintien et la mobilité.
- Les éléments nerveux : ils ont pour rôle la commande et la sensibilité.

La colonne vertébrale Elle se présente comme un empilement de pièces osseuses : les vertèbres (au nombre de 24). Le tout repose sur le sacrum qui se termine par le coccyx. La colonne vertébrale comporte trois parties de haut en bas :
- La colonne cervicale composée de 7 vertèbres, elle soutien la tête et en permet les différents mouvements.
- La colonne dorsale composée de 12 vertèbres.
- La colonne lombaire composée de 5 vertèbres, elle est soumise au maximums d'efforts et sera le plus souvent à l'origine des douleurs.

Vue de face, la colonne vertébrale apparaît rectiligne, par contre de profil apparaissent trois courbures naturelles :
- A l'étage cervical, une légère courbure à concavité postérieure : la lordose cervicale.
- A l'étage dorsal, une courbure à convexité postérieure : la cyphose dorsale.
- A l'étage lombaire, une courbure à concavité postérieure : la lordose lombaire.
En termes plus simple, la lordose est la cambrure, la cyphose est la bosse.

Les vertèbres sont articulées entre elles par le disque intervertébral et par une petite articulation sensible appelée dans le jargon médical "articulaire postérieure". Le disque intervertébral est une sorte de petit coussin gélatineux entouré d'une enveloppe qui sert d'amortisseur entre les vertèbres.

Les muscles paravertébraux
Leur nombre et leurs points d'insertion sont si complexes qu'on les compare souvent au système compliqué des haubans qui maintenaient les mâts des grandes goélettes d'autrefois.

Les éléments nerveux
Ils sont constitués par la moelle épinière qui descend le long de la colonne dans le canal rachidien depuis la base du crâne jusqu'à hauteur de la deuxième vertèbre lombaire, et les racines nerveuses qui émergent de la moelle par les trous de conjugaison. Le trou de conjugaison se forme entre le disque intervertébral et l'articulation postérieure par la superposition des vertèbres.

Les mécanismes de la douleur

La douleur mécanique a pour origine essentielle l'augmentation des tensions et des pressions au niveau des disques intervertébraux et des articulaires postérieures.
La cambrure lombaire s'accentue, les vertèbres écrasent les disques en les pincant sur la partie postérieure. Ce qui a pour effet dans le pire des cas, de rompre l'enveloppe du disque et de laisser échapper une partie du disque qui viendra comprimer la racine nerveuse correspondante : c'est la hernie discale.
Les articulaires postérieures, très sensibles, sont soumises à des augmentations de pressions qui les rendent douloureuses.
Les trous de conjugaison et le canal rachidien ont tendance à diminuer de calibre, comme un tuyau que l'on plie, et de ce fait compriment les racines nerveuses.
Lorsqu'il s'agit du nerf sciatique, le patient ressent une vive douleur le long de la face postérieure de la cuisse et de la jambe.
Lorsqu'il s'agit, plus rarement du nerf crural (cruralgie) la douleur se limite à la face antérieure de la cuisse. En réaction à cette douleur, s'installe une violente contracture musculaire qui ne fait qu'augmenter la pression intradiscale. Le patient entre alors dans le cercle vicieux redoutable et redouté des lombalgiques : douleur = contracture = douleur

Quel est le remède pour stopper l’installation de ce cercle vicieux ?
Les médicaments bien entendu sont souvent indispensables en période aiguë, mais ils deviennent vite inefficaces par un effet d'accoutumance bien connu et surtout ils ont des effets secondaires désastreux, notamment sur les estomacs fragiles.
La chaleur est un excellent décontractant. Un bain chaud, ou une scéance de "sèche-cheveux" sur la partie endolorie ont un effet antalgique, mais hélas souvent éphémère.
Les séances de kinésithérapie : les massages et la physiothérapie (électrothérapie, ultrason, laser) sont indispensables dans les cas difficiles, mais ils ne pourront pas durer très longtemps compte tenu des restrictions de la sécurité sociale. La dernière solution est une méthode de relaxation et d'étirement sur la table Sipho. La pause Sipho pratiquée à domicile, peu contraignante, donne de très bons résultats qui restent durables dans le temps (Source : Docteur Denis Remy).

La table SIPHO a été conçue par le Dr Denis REMY de la faculté de Médecine de Nancy pour mettre en pratique la "Pause Sipho".
La "Pause Sipho" est un concept mécanique, simple naturel et sans danger pour soulager et prévenir le mal de dos.
Le Thérapeute, en utilisant la pesanteur des membres inférieurs du patient, examine, masse et rééduque un dos en complète décompression. La "Pause Sipho" engendre une délordose du rachis lombo-sacré et du rachis cervical qui permet d'obtenir en quelques secondes une ouverture du canal rachidien et des trous de conjugaison, ainsi q'un étirement des psoas, des muscles paravertébraux et des ischiojambiers. Elle donne d'excellents résultats dans toutes les pathologies d'origine mécanique, notamment : les hernies discales, l'arthrose postérieure, le canal lombaire étroit, l'hyperlordose lombo-sacrée.
Le patient souffrant du dos peut utiliser la table Sipho seul * à son domicile, chez son kiné ou dans les salles de remise en forme. (* : après consultation préalable de son médecin).
Livrée avec brochure de 24 pages accompagnée de photos d'une vingtaine d'exercice permettant de prendre en charge de façon originale et efficace les personnes souffrant de problèmes de dos.

La pause Sipho

La posture de relaxation du dos
Vous savez que nous faisons partie de la grande famille des vertébrès. Imaginez maintenant que l'on remonte quelques centaines de millions d'années en arrière. On s'aperçoit que nos lointains ancêtres étaient des quadrupèdes. Autrement-dit, la colonne vertébrale a été conçue pour fonctionner sur le mode de l'horizontalité, c'est-à-dire en marchant à quatre pattes.
Plus près de nous, il y a quelques millions d'années, l'Homo-Erectus s'est mis debout, peut-être en pêchant par orgueil ou plus sérieusement pour pouvoir utiliser ses membres supérieures à la préhension. Il n'imaginait sûrement pas qu'il allait engendrer sur la planète des générations de lombalgiques.
On devine donc maintenant que la position idéale du dos, la posture antalgique qui supprime les douleurs en relaxant le dos, c'est la position des quadrupèdes et de surcroît sans contrainte ni pression sur les disques. L'idéal serait d'obtenir cette posture en apesanteur. On a pour réaliser cette posture une solution idéale : s'installer sur la table Sipho. La table Sipho est un appareil paramédical constitué d'une sellerie, d'une armature en aluminium pliable et de deux repose-pieds. Elle est réglable en hauteur.
A l'aide des repose-pieds, le patient s'installe à plat-ventre sur la table, les bras ballants et la tête légèrement fléchie. En quelques secondes, on ressent un relâchement total de la musculature dorsale et une cédation immédiate des douleurs. Reste à effectuer, toujours les pieds en appui et les bras ballants, quelques exercices de relaxation et de respiration abdominale.
Deux points de détail :
Pour des raisons de confort, ne pas utiliser la table Sipho après manger et de préférence l'utiliser après avoir vidé sa vessie.
Enfin, la descente de la table sipho doit se faire avec précaution afin d'éviter l'apparition désagréable de petites sensations de perte d'équilibre. Pour cela il suffit de relever le buste lentement en s'aidant d'une poussée des bras vers l'avant de la table.

Les étirement sur la table Sipho
La 1ère posture d'étirement
A partir de la position de relaxation, les bras ballants à l'avant de la table, la tête légèrement fléchie, on lâche alors l'appui des pieds.
Le poids des jambes pendantes dans le vide entre les repose-pieds, exerce alors sur la colonne vertébrale un étirement doux et naturel en réduisant la cambrure (ou en délordose pour employer un terme médical).
Cela supprime instantanément la pression intradiscale.

La 2 ème posture d'étirement
Le patient se replace en position de relaxation, c'est-à-dire les pieds en appui sur les repose-pieds. Il remonte ensuite lentement les bras pour empoigner à hauteur des hanches les deux poignées situées de part et d'autre de la table et lâche à nouveau les pieds dans le vide. La sensation de bien-être est immédiate. On la laisse pleinement s'instaurer en respirant à fond, puis on exerce sur les poignées une poussée lente et progressive des bras raidis afin de développer l'étirement.
On agit alors sur les trois paramètres essentiels de la douleur :
- Suppression des tensions sur les disques et les articulaires postérieures.
- Ouverture du canal lombaire et des trous de conjugaison (ce qui entraîne la libération des racines nerveuses).
- Cédation des contractures musculaires.
Ces mouvements seront effectués sans hâte et en souplesse. Une minute de relaxation suivie d'une minute d'étirement suffisent à enrayer le douloureux processus d'enclenchement des contractures.
Répétée deux fois par jour, cette séance de deux minute, la Pause Sipho, vous permettra de commencer la journée d'un bon pied .. et de vous détendre le soir.
Pour ceux qui pourraient penser que l'étirement répété risque d'engendrer une trop grande laxité de la structure du dos (notamment les ligaments, les muscles et les tendons), il faut remarquer que bien au contraire, et cela a été démontré par les expériences de laboratoire, l'étirement d'une fibre musculaire (actif ou passif) ne fait que la renforcer, par un phénomène de stimulation-réflexe. Donc la Pause Sipho en renforçant progressivement et sans effort la musculature dorsale, vous permettra de retrouver un dos ferme et solide.

Entretenir son dos avec la table Sipho

Pour protéger nos dos fragile, il convient d'adopter des gestes et des postures correctes à l'occasion de nombreux actes de la vie quotidienne (qu'il s'agisse de lever des charges, de marcher, de s'assoir, de dormir, etc ...). En dehors des gestes et des postures adéquates il est également nécessaire de tout mettre en oeuvre pour garder des disques et des muscles en bon état.. Pour cela nous avons programmé une séance d'entretien du dos pratiquée matin et soir à l'aide de la table Sipho.
Cette séance biquotidienne de rééducation qui suit la séance de relaxation-étirement étudiée ci-dessus ne doit pas dépasser 2 à 3 minutes en tout et pour tout. Notre expérience nous prouve en effet que les programmes de gymnastique excédant 5 à 10 minutes sont rarement poursuivis au-delà de 2 à 3 mois pour les patients les plus persévérants.
De plus c'est l'effet répétitif quotidien de séances courtes qui nous donnera les meilleurs résultats.
Avant d'aborder en détails la séance de gymnastique d'entretien, il me semble important de vous mettre en garde devant une tentation à laquelle les lombalgiques cèdent trop souvent : la suspension par les bras à une barre ou un espalier. En effet, cette posture fait basculer le bassin, ce qui a pour effet d'augmenter la cambrure et de déclencher le mécanisme redoutable de la douleur = contracture, contracture = douleur, douleur ....
Etudions à présent cette séquence de quatre mouvements que vous répéterez chacun trois à quatre fois juste après la séance de relaxation-étirement :
1) Le bout des pieds étant en appui sur les repose-pieds, étendre les bras à l'horizontale, sans relever la tête, comme pour repousser les murs latéraux de part et d'autre de la table.
2) Lever le bras gauche à l'horizontale devant vous en relevant la jambe droite dans le prolongement du corps, toujours sans relever la tête et en gardant le pied opposé en appui sur le repose-pied.
3) Même mouvement combiné, mais du bras droit et de la jambe gauche. Il est recommandé de ne pas forcer, surtout les premiers temps, ces postures étant celles qui vont le plus solliciter les muscles paravertébraux.
4) Les bras ballants devant soi, faire lentement pivoter la tête à gauche et à droite et vice versa jusqu'au niveau des épaules, toujours légèrement fléchie, le menton près du sternum (Ne Jamais relever la tête).
Pour terminer, après être descendu prudemment de la table Sipho, on consacrera quelques secondes à un dernier exercice permettant de muscler les cuisses (avoir des cuisses musclées est important pour ménager le dos). Il s'agit, tout en se tenant à l'armature de la table de faire 3 à 4 flexions des genoux en gardant le dos bien droit.
Remarque : Cette liste de mouvements n'est pas exhaustive. Il faut cependant toujours respecter une règle : les mouvements sur la table Sipho ne doivent jamais déclencher de douleur.

La pause Sipho, pour qui ?

Il n'y a pas de "remède miracle", la Pause Sipho est un concept mécanique, simple naturel et sans danger. Comme telle, elle ne s'adresse quà ceux des neufs patients sur dix environ dont le mal de dos est de type mécanique ; qu'il résulte d'une prédisposition, par exemple une cambrure trop accentuée, ou de la répétition d'efforts traumatisants tels que les levers de charges dans des positions inadaptées, ou encore de postures inadéquates comme les stations debout ou assises prolongées.
Le dernier cas, celui du patient sur dix qui n'entre pas dans cette catégorie, relève d'une autre pathologie (tumorale, infectieuse, etc ...) et nécessitera un traitement spécifique. Il est donc impératif que tout patient souffrant du dos ait préalablement consulté son médecin ou le spécialiste avant de prendre son mal en charge grace à la "Pause Sipho". Il est également important qu'il ait bien compris l'origine du mal de dos ; fort justement exprimée par la locution populaire "en avoir plein le dos", qui résume bien l'effet fragilisant des stress de la vie moderne sur nos disques intervertébraux.
Source : Docteur Denis Remy

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